Votre site est-il vraiment à la hauteur ou juste joli de loin et lent de près ?

Parce que vous avez sûrement envie de savoir si :

• Votre site web pollue tellement qu’il sabote tous vos efforts RSE

• Sa vitesse sur mobile est tellement lente qu’elle vous fait perdre des prospects

• Votre SEO est un hameçon rouillé qui n’attire que des poissons panés

• Vous êtes en train d’exclure 15% de clients potentiels à cause d’un site impraticable

• Votre développeur s’est bien fichu de vous en codant ça un vendredi à 17h…

Bref, vous méritez de savoir à quoi vous en tenir.

Et ça commence ici.

Pas besoin d’un diplôme en cybersorcellerie 🔮

Copiez-collez simplement l’URL de la page que vous voulez tester. Cliquez sur “Tester ma page”. Et hop, vous recevez un rapport clair, net, sans filtres et sans excuses.

Sources sérieuses et pointues (oui, que du lourd) : Google Pagespeed Insights et HTTP Archive

Vous venez de tester votre URL (bravo, c’est déjà plus que la plupart des agences locales qui jurent que “tout va bien”). Mais concrètement, que se cache-t-il derrière nos jolis scores et nos indicateurs ? Voici ce qu’on mesure, pourquoi on le fait, et surtout, sur quelles données béton on s’appuie pour vous donner un vrai aperçu de la qualité de votre site.

Oui, votre site pollue. (On espère pas trop, mais bon.)

L’impact environnemental d’une page web dépend principalement de deux choses :

Son poids. Plus c’est lourd, plus ça envoie du CO2 à chaque visite.

Son trafic. Plus c’est visité, plus ça pollue (même si vous êtes famous, ça reste un problème).

Alors oui, il existe déjà des outils pour évaluer l’impact écologique d’une page web. Ecoindex, WebsiteCarbon et Pagespeed Insights se disputent la couronne du "meilleur testeur de vertitude numérique". Spoiler alert : aucun ne l’emporte haut la main, et certains sont même de sérieux candidats au titre de roi des illusions.

Ecoindex, ou comment juger un site web avec une boule de cristal

Ecoindex, c’est un peu le gars qui juge votre empreinte carbone parce que vous portez des baskets rouges. Leur logique ? Plus une page a d’éléments dans son DOM, plus elle "use" les terminaux (PC, smartphones, etc.). Donc selon eux, si votre site a trop de balises <div>, quelqu’un quelque part change son iPhone. Sérieusement, t’as déjà vu quelqu’un balancer son téléphone à cause d'un site web ? Nous non plus.

Et ça ne s’arrête pas là. Ecoindex compte les requêtes serveur pour estimer la charge énergétique. Grosse ambiance. Le problème, c’est qu’une requête vers un site statique (comme ceux qu’on fait nous) consomme à peu près autant d’énergie qu’un moustique asthmatique, tandis qu’un WordPress en sue à grosses gouttes. Mais bon, pour eux, une requête = une requête. Très scientifique.

Ah, et le bouquet final : leur scoring donne un coefficient 3 à la complexité du DOM, 2 au nombre de requêtes, et... 1 au poids de la page. Traduction : le facteur le plus pertinent pour estimer l'impact carbone est traité comme un figurant. C’est comme si on notait un repas au restaurant en mettant trois étoiles à la couleur de la nappe, deux à la forme des couverts, et une au goût du plat.

WebsiteCarbon : moins pire, mais pas vraiment génial

WebsiteCarbon a au moins compris un truc : le poids d’une page, c’est important. Ils s’évitent donc les gymnastiques intellectuelles fumeuses, et ça, on applaudit. Par contre, côté données utiles (performance, accessibilité, SEO, qualité du code), c’est le désert. Nada. Silence radio.

Et leur système de notation ? Une autre bizarrerie. De A à F : ça a l’air carré. Mais en fait, seuls les sites classés F sont vraiment en dessous du lot. Les autres (de A à E) sont tous à peu près OK, dans des nuances de bons sentiments verts. Résultat : on a 50 nuances d’écolo-bien, et une seule nuance de "tu pues". Pas hyper lisible pour monsieur tout-le-monde.

Pagespeed Insights : le robot qui sait tout mais parle en binaire

Alors oui, Google Pagespeed Insights, c’est un peu le savant fou de la bande. Lui, il vous balance TOUT : performance, accessibilité, SEO, bonnes pratiques, poids de la page, taux d’humidité dans votre salle de bain… bref, la totale. Problème : c’est un peu comme lire un rapport de thèse en slovène si t’es pas dev.

C’est pour ça qu’on a décidé de prendre toutes ces données et d’en faire quelque chose de digeste. Genre, humainement compréhensible. On contextualise le poids de votre page avec les vraies stats du web (merci HTTP Archive), et on vous donne un score écologique de A à E. A et B ? Bravo, t’es meilleur que la moyenne. D et E ? Revois ton site, il chauffe plus que la box d’un gamer en LAN. C, c’est la moyenne. Rien de honteux, mais rien de glorieux non plus.

Et cerise sur le cookie : on traduit les scores techniques en français lisible. On vous dit par exemple qu’un score de performance de 92, c’est franchement très bien, mais que 92 en SEO, c’est un peu honteux. Parce que franchement, faire 100 en SEO, c’est pas sorcier. Sauf si on aime vivre dangereusement.

Un bon score écologique, ça ne tombe pas du ciel. Il faut des bonnes pratiques de dev, des optimisations techniques, et un peu de bon sens.

Votre site est rapide ? Ou il fait une sieste entre chaque clic ? Pour le savoir, on utilise les données de PageSpeed Insights (merci Google). Et pas en version desktop tranquillou-bureau… non non, on teste la version mobile. Parce que :

C’est ce que vos visiteurs utilisent le plus.

C’est ce que Google regarde en premier.

Voici comment lire votre score (sur 100) :

90 à 100 : 🚀 Votre site file droit au but. Les Core Web Vitals sont au top. Bravo !

50 à 90 : 🐌 Y’a du bon… mais aussi du lent. Il va falloir affûter vos lignes de code.

Moins de 50 : 🧯On parle d’un site ou d’un dinosaure ? Il va falloir tout reprendre, parce que Google ne vous fera pas de cadeaux.

Un bon score, ce n’est pas qu’une question d’ego : c’est du trafic en plus, des utilisateurs satisfaits et (souvent) du CO2 en moins.

Votre site, il parle à tout le monde… ou juste à ceux qui ont une vision d’aigle et une souris greffée au bout des doigts ?

15 % des internautes ont un handicap temporaire ou permanent. Et si votre site n’est pas accessible, c’est 15 % de trafic en moins… donc potentiellement 15 % de clients en moins. Pas très malin.

Ce que notre testeur détecte :

🎨 Des contrastes foireux entre texte et fond (coucou le gris clair sur fond blanc)

❌ Des boutons sans noms (bonjour l’enfer des lecteurs d’écran)

🔢 Une hiérarchie de titres HTML en freestyle (non, un H3 ne vient pas avant un H1)

Ce que vous devez savoir :

✅ Si tout est au vert, c’est déjà pas mal. Tous les problèmes automatiquement détectables sont absents.

⚠ Mais seule une analyse humaine peut repérer les subtilités qu’un robot ne verra jamais. Et ça, on sait aussi faire.

Le SEO, c’est comme un GPS pour Google. Si votre page ne suit pas les règles du jeu, elle finit dans un coin paumé du web. Et devinez quoi ? Personne ne va jusqu’à la page 17 des résultats de recherche.

Ce qu’on teste ?

Pas votre popularité (on n’est pas Google), ni vos talents d’écriture.

Mais la technique : on vérifie si votre page respecte les bases indispensables pour être trouvable (et pas juste jolie).

Résultat des courses :

✅ Score positif : bravo, vous avez coché les cases SEO techniques sur CETTE URL. Mais ne criez pas victoire trop vite : chaque page mérite son audit.

❌ Score négatif : ouch. Y’a du ménage à faire si vous voulez que votre page arrête de jouer à cache-cache avec Google.

Ce qu’on repère en un clin d’œil :

Métadonnées ? Portées disparues.

Liens ? Invisibles pour les robots.

Boutons ? Trop petits pour qu’on ose les toucher.

Fichier robots.txt ? Aux abonnés absents.

Votre code, c’est un peu comme la fondation d’une maison : si elle est mal construite, ça finit par s’écrouler. Optimiser votre code, c’est pas une option, c’est une nécessité si vous voulez que votre site soit stable, sécurisé et résilient.

Résultat du test :

Score négatif ? Bienvenue dans un monde de failles de sécurité, bugs en cascade et affichages dégueulasses. Si votre page ne passe pas le test, c'est pas un plugin qui va résoudre ça.

Votre développeur ? Il va devoir retrousser les manches et se mettre à l'œuvre, car là, on parle de code sur-mesure, pas d’un coup de baguette magique.

Score positif ? Vous êtes dans le top. Félicitations, vous n’avez pas de galères en vue. Continuez comme ça, mais ne vous reposez pas trop sur vos lauriers, une vérification régulière ne fait jamais de mal.

Problèmes fréquents détectés par notre outil :

Des erreurs qui crient dans la console (ça casse les oreilles).

Des images qui prennent trop de place (pas de place à la gourmandise ici).

Des librairies JavaScript vulnérables, comme JQuery (c’est du vintage, et pas dans le bon sens).